lundi 29 février 2016

SEMAINE 21/36 : lundi 29 février 2016



C'est la reprise après 16 jours de vacances. Aujourd'hui notre principal travail consistera à faire le point sur l'avancement en lecture sur Delile.

ÉCRITURE-LECTURE CUISSART : révision étape 50 n°1
Pour le procédé, se reporter à http://cuissart2.blogspot.fr



ÉCRITURE : révision de nos lettres de l'alphabet en minuscules cursives.



— COPIE/DICTÉE : en copie sur le cahier de classe, un morceau d'épisode de l'âne de Rémi : "l'âne a disparu. Rémi, alarmé, a disparu."

 Préparation de la dictée du lendemain
 "papa a une pipe. Irma ira à rome." Nous rappelons une règle apprise avant les vacances. Si dans la phrase je ne peux remplacer "a" par "avait", alors je mets un accent sur le "à". En guise de préparation, nous copions ces deux phrases plusieurs fois dans la journée sur l'ardoise, après avoir repéré les principales difficultés (ne pas oublier les points en fin de phrase, l'accent sur le "a". Deux élèves passent au tableau pour écrire les phrases sous la dictée du maître.


NUMÉRATION : nous revoyons les 9 unités et les 9 dizaines.
 
LOGO : pour faire un hexagone
(sur l'ardoise puis sur l'ordinateur)
Nous rappelons qu'une rotation complète vaut 360°. Comme la tortue va tourner 10 fois (déca = 10), elle doit donc tourner à chaque fois de 360° : 10 = 36°.

Sur l'ardoise chaque élève cherche la procédure REPETE 10[av 80 TD 36] Que nous saisissons dans l'éditeur de LOGOPLUS.

Comme nous le faisons souvent, nous demandons à la tortue d'exécuter une rotation autour d'un point (la figure est répétée 10 fois en pivotant de 10°). Nous obtenons un très joli dessin tracé sous nos yeux par l'obéissant reptile.

REPETE 36 [REPETE 10[av 80 TD 36] TD 10]

Voir également le site Hatier Pas à Pas >>>



ARITHMÉTIQUE : révision de la table de multiplication par 2.
- Table intuitive d'addition
- Table intuitive de multiplication
- Table du nombre de fois


CAHIER DE CLASSE :


—  FREDI, SUZETTE et le CANARD BOITEUX
+ Jeux de lecture : une élève a terminé complétement le Delile. Elle démarre dès aujourd'hui la lecture courante avec Frédi, Suzette et le canard boiteux. Trois élèves seront prêts eux aussi dans quelques jours. Les autres suivront en groupe dans les semaines à venir.

ANALYSE :
 
— VOCABULAIRE : épisode 78 Où Héraklès affronte les ombres géantes

LECON DE CHOSES : le matin nous arrivons en classe sous le gel. Nous rappelons la température du corps humain en bonne santé (37°C), celle de la classe (17°C), celle d'une flamme orangée de bougie (800°C) celle de la flamme bleue du chalumeau (1 200°C). Par temps froid la température peut descendre à 0°C (l'eau liquide se transforme en glace). Elle peut même descendre encore ; on compte alors les degrés avec un signe -.

L'après-midi nous chauffons un ballon de baudruche en caoutchouc. Il s'enflamme instantanément et devient inutilisable. Même opération mais cette fois-ci le ballon est empli d'eau. L'eau présente une inertie thermique ce qui veut dire qu'il faut beaucoup d'énergie pour la réchauffer. Toute l'énergie de la flamme est utilisée à chauffer l'eau, le ballon ne peut brûler. La température de l'eau atteint au maximum 100°C ; l'eau se met alors à bouillir et s'échappe du ballon sous forme de vapeur. 
Dessin sur notre cahier de croquis.






DESSIN : frise du jour + un bol, sur le cahier de classe.



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TRAVAIL EN FAMILLE
 15 minutes maximum

Pour  2016

CUISSART : étape 50 n°1 à revoir

DELILE : page en cours



DICT
ÉE : papa a une pipe. irma ira à rome.
 
RECITATION :

mercredi 24 février 2016

À TABLE !

Lu sur http://onpassealacte.fr/initiative.permettre-aux-personnes-agees-de-partager-des-repas-avec-les-enfants-de-l-ecole.personnes-agees-intergenerationnel.89140885952.html

« J'ai décidé d'ouvrir la cantine scolaire aux anciens du village ! »

A Bioule, petite cantine du Tarn et Garonne, têtes blondes et têtes blanches partagent les mêmes tables le temps de deux déjeuners par semaine. Au delà du simple repas pris ensemble, entraide, souvenirs et éclats de rire sont au menu. 

En 2010, face à l’afflux de nouveaux arrivants, l’école doit s’agrandir et la cantine être remise aux normes. Les travaux commencent et attirent la curiosité des personnes âgées. Le maire, Gabriel Serra leur lance une boutade qui deviendra finalement un défi : « ça vous intéresserait de manger à la cantine ? ». Réponse unanime : « et bien pourquoi pas ? »

Le maire entreprend alors les démarches administratives pour rendre cette initiative spontanée réalisable, en toute légalité.  La difficulté principale est de définir le prix du déjeuner, qui ne doit faire concurrence ni au portage des repas à domicile ni aux restaurateurs du coin. Les délibérations se tiennent en conseil municipal : une douzaine de places à la cantine pourront être accessibles aux personnes de plus de 75 ans. Le coût de revient du repas est établi à 6€ ; la mairie ne se dégageant aucun bénéfice et n’accordant aucun avantage. L’accord de la préfecture est donné. 

Depuis deux ans déjà, les enfants, affamés d’histoires et les personnes âgées avides de lien avec les enfants, se rejoignent plusieurs fois par semaine pour des moments de grande complicité.  « J’ai hâte de voir les gosses piailler, de sortir de ma solitude, surtout l’hiver et de retrouver les autres. Cela me permet de garder goût à la vie » nous confie Marie-Louise. 

Au delà de cette rencontre entre générations, la cantine fédère tous les habitants. Elle permet un rapprochement des vieux du village, qui désormais y fêtent tous ensemble leurs anniversaires, ou encore vont au restaurant lorsque les portes de la cantine se ferment aux vacances. Par le biais des enfants, les parents, nouveaux arrivants et souvent éloignés de leurs propres familles rentrent en lien avec les anciens. 

Ce qui n’était au départ qu’un investissement matériel de la mairie est devenu un projet humain et fédérateur.  En un mot : « à table ».

samedi 20 février 2016

UMBERTO ECO (1932-2016)


Umberto Eco, né le à Alexandrie dans le Piémont et mort le à Milan, est un universitaire, érudit et écrivain italien. Reconnu pour ses nombreux essais universitaires sur la sémiotique, l’esthétique médiévale, la communication de masse, la linguistique et la philosophie. Il est surtout connu du grand public pour ses œuvres romanesques.
Titulaire de la chaire de sémiotique et directeur de l’École supérieure des sciences humaines à l’université de Bologne, il en est professeur émérite de 2008 à sa mort.

Le site officiel >>> 

Voir aussi l'article de Daniel Schiffer Salvadore sur Agoravox >>>

MESSAGE DE L'AMICALE DES P'TITS NÉRISIENS

                                 
Derniers jours pour les inscriptions aux Visites de la Caserne des Pompiers !
Il reste encore des places pour le 2ème groupe, alors si vous n’avez pas encore eu le temps, pensez à confirmer par retour de mail votre inscription !

Organisées par l’Amicale des P’tits Nérisiens pour les enfants des familles ADHÉRENTES

samedi 27 février 2016

les visites auront lieu à la Caserne de Néris-les-Bains de :
-         16h15 à 17h30 (arrivée à 15h45)
Avec un goûter pris en commun aux 2 groupes de 15h45 à 16h15.

INSCRIPTION par mail : * amicaleptitsnerisiens@outlook.fr

Enfin vous pouvez également vous inscrire pour l’atelier « perles à repasser » du samedi 23 avril !

Tous vos enfants seront les bienvenus !...

Cordialement

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vendredi 19 février 2016

 Lu sur http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/non-la-reussite-des-etudiants-de-177811

Dernièrement, l’ENS-Ulm a décidé de proposer une voie d’admission sur dossier. Les admissions parallèles dans les Grandes Ecoles se multiplient avec une volonté « d’ouverture » partant du fait que « la prépa » n’est qu’un mécanisme de reproduction des élites.
Les classes préparatoires sont le croque-mitaine de notre système d’éducation. Elles ne seraient que des lieux où règnerait un étouffant entre-soi élitiste. Pour cause, 50% des enfants présents sont des enfants de cadres et de professions supérieures alors que cette catégorie ne représente que 10% de la population.
Pour faire reculer les inégalités, il faudrait proposer des voies d’admissions sur dossier et non plus sur concours, et donc implicitement briser le système des classes préparatoires. Depuis quelques années déjà on nous vante les mérites de la discrimination positive inspirée des affirmative actions américaines. SciencesPo Paris a ainsi dévleoppé ses Conventions d'Education Prioritaire. Le concours est aboli au profit d’une sélection sur dossier. On rentre alors dans les écoles parce qu’on a un tel arrière plan migratoire, une telle origine sociale mais plus seulement grâce à son travail. On a oublié que dans ce sophisme qu’est l’expression « discrimination positive » il y avait tout de même le mot discrimination.
C’est ignorer que les inégalités se forment avant l’entrée de l’élève dans l’enseignement supérieur, au secondaire.
C’est ignorer que les inégalités se forment avant l’entrée de l’élève dans l’enseignement supérieur, au secondaire. Sylvie Bonnet, présidente de l’Union des Professeurs de classes préparatoires scientifiques, le soulignait à juste titre. Avec La loi Haby sur le collège unique nous avons voulu démocratiser l’éducation : nous avons massifié l’enseignement mais pas l’excellence. Et cela parce que nous tenons pour horreur tout soupçon de sélection. Jamais la proportion d’enfant d’ouvriers a été aussi faible dans le supérieur. Pour cause, les plus pauvres sont victimes d’un nivellement par le bas promu par la rue de Grenelle. Ils sont condamnées à suivre des programmes dont la substance classique a été évacuée et dont les exigences sont insuffisantes au vu des prérequis du supérieur. Leurs camarades les plus aisés auront, eux, toujours accès à des sources de connaissance supplémentaires au travers de l’enseignement privé et plus généralement d’un accès facilité à la culture classique.
On oublie alors que le concours c’est la méritocratie par excellence. L’assurance de s’élever par le travail, sans lequel on a rien, par le mérite qui légitime les ambitions, et par l’effort qui donne du sens à la vie. Il s’agit donc d’une aventure humaine, exigeante mais salvatrice, qui permet d’arracher au coeur de chacun le sentiment d’injustice.
Il s’agit donc d’une aventure humaine, exigeante mais salvatrice, qui permet d’arracher au coeur de chacun le sentiment d’injustice.
En ce sens, les classes préparatoires incarnent ce qu’il reste du passé méritocratique de notre éducation. C’est pour cela même qu’elles sont vilipendées.
 
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À lire également, un article de 2007 http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/que-faire-des-classes-prepas-29135

CAHIER DE DESSINS ET CROQUIS

Le dessin est une activité fondamentale à l'école élémentaire.
Ce grand cahier de dessin est utilisé presque chaque jour. On y trouve :

- des dessins en 4 étapes
- des dessins d'observation (leçons de choses de JPP ou de Christian)
- quelques procédures de LOGO
- des croquis d'expériences
- des dessins d'imagination, figures mythologiques, etc
- des reproductions (surtout des dessins de M. Duvivier dans le Feuilleton d'Hermès)
- des travaux au compas (à partir de mars)

Les dessins sont systématiquement datés. Les légendes sont ajoutées au fur et à mesure, lorsque nous savons suffisamment écrire.

Ce diaporama rassemble des dessins de Sarah, augmentés de dessins d'autres élèves : Henri, Illan, ...


CAHIER DE CLASSE n° 1 et n° 2

 À l'abord des vacances de février nous avons terminé 2 cahiers. Le premier cahier est composé d'une réglure Seyès 4 mm (écartement entre les lignes horizontales) ; le deuxième cahier est composé d'une réglure de 3,5 mm ; le troisième cahier passe à 3 mm ; au troisième trimestre le quatrième et le cinquième cahiers auront des réglures 2,5 mm.

Le travail est réalisé au crayon à mine graphite (dans l'idéal une mine 2B) de sorte à pouvoir facilement gommer si nécessaire. Le passage au stylo à bille ou à la plume interviendra dès que l'écriture sera stabilisée (nous n'utilisons ni effaceur d'encre, ni blanco).

Voici donc les cahiers de Lucie >>>



dimanche 14 février 2016

Hélène Carrère d’Encausse dénonce « l’effondrement » de l’éducation nationale


Selon son secrétaire perpétuel, l’Académie Française n’a pas validé la réforme de l’orthographe que le ministère de l’éducation voulait appliquer à la rentrée

L’Académie française n’est pas à l’origine et n’a pas validé la réforme de l’orthographe qui doit être prochainement généralisée à l’école. La prestigieuse institution aura pris son temps mais la mise au point est claire.
Dans un entretien au Figaro du samedi 13 février, Hélène Carrère d’Encausse, entend mettre un terme à la polémique qui a éclaté il y a dix jours avec les révélations dans la presse des projets du ministère de l’éducation pour la prochaine rentrée scolaire.
« Je n’ai pas compris les raisons qui expliquent l’exhumation d’une réforme de l’orthographe élaborée il y a un quart de siècle et où l’Académie française n’a eu aucune part, à l’inverse de ce que l’on a voulu faire croire », indique Hélène Carrère d’Encausse


Le ministère de l’éducation national s’est appuyé sur une réforme du « conseil supérieur de la langue française » adoptée en 1990 pour inciter les éditeurs scolaires et les enseignants à adopter de nouvelles simplifications orthographiques.

Un oignon qui perd son « i »

Il s’agit notamment d’alléger l'usage des traits d'union et des accents circonflexes ou de réécrire certains mots comme nénuphar qui devient nénufar et oignon qui devient ognon. La généralisation prochaine de cette réforme a suscité une vive polémique, notamment dans les médias et les réseaux sociaux.
Pour se défendre, le ministère a depuis rappelé qu’un bulletin officiel de 2008, donc publié sous la droite, indique clairement que « pour l’enseignement de la langue française, le professeur tient compte des rectifications de l’orthographe proposées par le rapport du Conseil supérieur de la langue française approuvées par l’Académie française. »
Une explication qui ne satisfait pas Hélène Carrère d’Encausse. L’historienne précise qu'en ce qui concerne la réforme de 1990, l'Académie, consultée, s'était prononcée sur des « principes généraux - un nombre limité de rectifications d'incohérences ou d'anomalies graphiques - mais non sur le projet lui-même dont le texte était en cours d'élaboration ».
Ce n’est qu’ensuite, lorsque le rapport du Conseil supérieur a été publié au journal officiel, que les académiciens ont pu en prendre connaissance et en débattre. « Et le débat fut d’une grande vivacité. L’Académie dans son ensemble a marqué son désaccord avec ce texte » assure l’académicienne.

Le système éducatif s’est « écroulé »

« La position de l'Académie n'a jamais varié sur ce point : une opposition à toute réforme de l'orthographe mais un accord conditionnel sur un nombre réduit de simplifications qui ne soient pas imposées par voie autoritaire et qui soient soumises à l'épreuve du temps », souligne Mme Carrère d'Encausse. Elle remarque sur ce point que la réforme est tombée en désuétude. Les Français dans leur pratique ne l’ont pas cautionnée. « Il est donc absurde de ressortir aujourd’hui cette réforme » conclut-elle.
Mais le diagnostic porté par l’académicienne sur le système éducatif risque de relancer le débat. Depuis 1990, le contexte a totalement changé rappelle-t-elle. « En 2016, nous sommes devant une situation radicalement différente » avec un système éducatif qui « s'est écroulé » au point « qu'un élève sur cinq quitte l'école sans savoir lire » commente-t-elle. « Le problème n'est donc plus d'offrir des facilités aux élèves, de conserver ou non l'accent circonflexe, mais de revoir totalement notre système éducatif ».
Hélène Carrère d’Encausse enfonce le clou. « Je dirais que la tragédie française est une inégalité croissante, née de l’effondrement de notre système éducatif ». Ce dernier « doit être reconstruit en fonction de cet impératif d’égalité ».

Bernard Gorce

vendredi 12 février 2016

VACANCES DE FEVRIER

 LES VACANCES de février

Au moment de partir en vacances (80 jours d'école écoulés et 19 mercredis matins ; il reste 57 jours et 16 mercredis matins), un petit point sur la classe :

La classe est vraiment très agréable et progresse beaucoup. Pas de bavardage excessif, pas de piscine au 1er trimestre, au moment des apprentissages les plus difficiles ; la configuration est idéale pour un travail conséquent. Je donnerai les bulletins individuels le jour de la rentrée.

Comme d'habitude au moment de prendre congé, nous vous conseillons d'entretenir un petit contact quotidien avec LIRE / ÉCRIRE / COMPTER (un contact un peu plus appuyé pour ceux qui ont un retard en lecture).

DELILE : variable selon l'avancement individuel, 3 élèves ont terminé Delile ; les autres se trouvent entre page 35 et page 58 (la méthode comporte 64 pages et l'avancement théorique à cette date est page 45). Les élèves qui se trouvent en deça de cette page DOIVENT impérativement travailler tous les jours pendant ces vacances. Les autres peuvent avancer comme il leur plaira, en respectant la règle : on ne passe à la page suivante que lorsque la page en cours est lue à voix assurée, rapidement et sans faute.

CUISSART : jusqu'à étape 49 (80 étapes en tout). Dans la partie restante, l'avancement sera de plus en plus rapide, les sons étant déjà connus grâce à Delile. Vous pouvez lire, en particulier les pages REVISIONS (étapes 32 à 37).

Parallèlement, après 6 mois d'apprentissage, nous pouvons aborder collectivement le stade de la lecture courante avec "LES AVENTURES DE L'ÂNE COCO". Courant mars nous nous attaquerons à "FRÉDI, SUZETTE ET LE CANARD BOITEUX" (Cours préparatoire), Marcel Roussel, Librairie classique Eugène Belin.

ARITHMÉTIQUE : jusqu'à page 37 (sur 64 pages). Les élèves les plus courageux peuvent travailler les "EXERCICES d'ARITHMETIQUE" (Chou Romanesco) jusqu'à page 27 maximum.

CAHIERS DE CLASSE : le deuxième cahier est terminé. A la rentrée nous démarrerons le cahier n°3 (vous pouvez donc archiver les deux premiers cahiers)

DICTÉES : nous les commencerons dès la rentrée avec une dictée préparée quotidienne.
Pour atteindre définitivement un bon niveau d'orthographe dès l'entrée en 6è, un élève doit sur chaque année avoir préparé une centaine de dictées de difficulté croissante (soit environ 4 dictées hebdomadaires pendant 5 années scolaires).

POÉSIES : nous en avons appris seize. La mémoire se renforce ; mais c'est aussi la diction, la déclamation, le sens de la rime, etc, qui s'améliorent au contact du répertoire poétique français.

ANGLAIS : jusqu'à "At the canteen". Revoir le vocabulaire (12 mots par page)

PISCINE : 9 séances, de début mai à fin juin, les mardis de 14h00 à 14h40

Reprise des cours lundi 29 février 2016 (année bissextile) à 8h30

Bonnes vacances à tous.

JPP

SEMAINE 20/36 : vendredi 12 février 2016





jeudi 11 février 2016

mercredi 10 février 2016

SEMAINE 20/36 : mercredi 10 février 2016






Sachant maintenant tout à fait écrire nous ajoutons des légendes aux dessins de notre cahier.

MESSAGE DE L'AMICALE DES P'TITS NERISIENS

Bonjour à toutes et à tous !
                                 Afficher l'image d'origine
Les vacances arrivent à grands pas ! Que pensez-vous d’un après-midi à vous initier ou à vous perfectionner à l’origami ?
Nous vous rappelons que l’Amicale des P’tits Nérisiens organise ce samedi 13 février 2016 des ateliers « origami » pour les enfants des familles ADHÉRENTES.

Il reste encore des places alors si vous n’avez pas encore eu le temps, pensez à confirmer par retour de mail votre inscription !

Les ateliers ont lieu à la Maison des Associations (rue du Commandant Goëtschy) de :
-         14h15 à 15h45 (arrivée à 14h)
-         16h15 à 17h30 (arrivée à 15h45)
Avec un goûter pris en commun aux 2 groupes de 15h45 à 16h15.

INSCRIPTION par mail : * amicaleptitsnerisiens@outlook.fr

Enfin vous pouvez également vous inscrire pour la visite de la caserne le 27 février prochain ou l’atelier « perles à repasser » le 23 avril !

Tous vos enfants seront les bienvenus !...

mardi 9 février 2016

SEMAINE 20/36 : mardi 9 février 2016



lundi 8 février 2016

SEMAINE 20/36 : lundi 8 février 2016




La force centrifuge


Les fortes bourrasques ont entraîné un bris de vitre : le réseau des lignes de fracture sur une des portes vitrées de l'école

dimanche 7 février 2016

Grandes Orgues : Olivier Latry, Philippe Lefebvre, Bernard Foccroulle, Wayne Marshall

http://live.philharmoniedeparis.fr/concert/1046894/titre.html
(en ligne jusqu'au 6 août 2016)
Wayne Marshall
Inauguration des grandes orgues de l'orchestre philharmonique de Paris : 6 février 2016

Entretien avec Olivier Latry >>>

Entretien avec Thierry Escaich >>>

vendredi 5 février 2016

jeudi 4 février 2016

SEMAINE 19/36 : jeudi 4 février 2016




mardi 2 février 2016

SEMAINE 19/36 : mardi 2 février 2016